dimanche 11 février 2007
Confiance en soi
"qui a peur de son ombre attend midi pour se lever. Pendant ce temps, les autres courent."
François Mittérand
François Mittérand
jeudi 1 février 2007
Quelques règles simples de bienséances
Il faut comprendre que la société marocaine est très conservatrice. Toute la vertu et la perfection consiste à appliquer les règles de bonne manière et de politesse à chaque instant de la vie courante.Ces règles sont en général issu de la religion et de la tradition, elles permettent de montrer son très grand respect envers l'autre.
-Il est bon de répondre favorablement à une invitation.
- Si vous êtes invité à partager un repas familial, Il est de bon usage, de ne pas venir les mains vide. Des cadeaux seront destinés aux enfants.
- Il est impératif de vous déchausser toujours en entrant dans une maison.
- Les salutations sont un art, ce sont les gens d'une très grande éducation, qui le maîtrise à la perfection. Ce qui compte est de montrer que chacun est un centre d'intérêt.
- un thé à menthe est appréciable avant et après le repas.
- l'invité doit toujours modéré sa discussion.
- Vous vous laverez les mains tout juste avant le repas. l'utilisation de l'aiguière est très courante. Prononcé " bismillah " à l'ouverture du repas, ne vous jetez pas sur la nourriture (aussi bonne soit elle ).
- Il est détestable de rester debout, ou de manger debout, ou debout une assiette ou un verre à la main, c'est ce qu'il y a de pire.
Les éclats rires sont une marque de mauvaise éducation, cependant cela nous empêche pas de sourire, au contraire il est recommandé d'être souriant.
- Il est impératif d'inviter à votre tour: cependant il n'y à pas pire que celui qui invite les riches à l'exception des pauvres.
-Il est bon de répondre favorablement à une invitation.
- Si vous êtes invité à partager un repas familial, Il est de bon usage, de ne pas venir les mains vide. Des cadeaux seront destinés aux enfants.
- Il est impératif de vous déchausser toujours en entrant dans une maison.
- Les salutations sont un art, ce sont les gens d'une très grande éducation, qui le maîtrise à la perfection. Ce qui compte est de montrer que chacun est un centre d'intérêt.
- un thé à menthe est appréciable avant et après le repas.
- l'invité doit toujours modéré sa discussion.
- Vous vous laverez les mains tout juste avant le repas. l'utilisation de l'aiguière est très courante. Prononcé " bismillah " à l'ouverture du repas, ne vous jetez pas sur la nourriture (aussi bonne soit elle ).
- Il est détestable de rester debout, ou de manger debout, ou debout une assiette ou un verre à la main, c'est ce qu'il y a de pire.
Les éclats rires sont une marque de mauvaise éducation, cependant cela nous empêche pas de sourire, au contraire il est recommandé d'être souriant.
- Il est impératif d'inviter à votre tour: cependant il n'y à pas pire que celui qui invite les riches à l'exception des pauvres.
lundi 29 janvier 2007
Qays et Laïla
Qays tombe éperdument amoureux de sa cousine Laïla. Le jeune homme est poète et ne peut s'empêcher d'exprimer ouvertement son amour. Le désir crié par Qays est une ombre sur l'autorité des pères, en effet il est de tradition que ce soit les pères qui règlent les mariages, ceux-ci refusent donc cette union. Qays se sert de ses poèmes comme d'une arme contre le pouvoir. La famille de Laïla obtient alors du calife la permission de tuer l'arrogant amoureux. Le calife fait venir Laïla pour voir sa si grande beauté. Il découvre avec surprise qu'il s'agit d'une jeune femme plutôt maigre, au teint brûlé par le soleil. Il décide alors de faire venir Qays et l'interroge : "Pourquoi aimes-tu cette femme qui n'a rien d'extraordinaire ? Et Qays répond : "C'est parce que vous n'avez pas mes yeux, je vois sa beauté, et mon amour pour elle est infini." La famille de Qays demande Laïla en mariage contre cinquante chamelles. Mais le père de Laïla refuse. Qays perd la raison. Son père l'emmène à La Mecque pour qu'il retrouve ses esprits, mais le jeune homme entend une voix qui lui crie sans cesse le prénom de son amour. Son obsession est telle qu'on l'appelle alors le majnoun (le fou) de Laïla. Un jour que Majnoun est tranquillement chez lui, rêvant à son amour, un ami vient le prévenir que Laïla est devant sa porte. Le poète fou a pour seule réponse : "Dis-lui de passer son chemin car Laïla m'empêcherait un instant de penser à l'amour de Laïla". Quelque temps plus tard, Laïla se maria et quitta la région. Majnoun partit vivre dans le désert avec les animaux sauvages. Certains prétendirent l'avoir vu manger de l'herbe avec les gazelles. Un jour, on découvrit son corps inanimé, protégeant un ultime poème dédié à son amour.
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